Ce dimanche 4 mai marquait la fin de la 42e édition du Défi sportif AlterGo, une autre édition couronnée de…
Merci pour cette 42e édition mémorable!
Du 25 avril au 4 mai, près de 6000 athlètes ayant une limitation fonctionnelle ont fait vibrer Montréal et la Rive-Sud à l’occasion du plus grand événement multisport au Canada.
Je veux revivre cette édition en imagesActualités
Les 5 coups de cœur de Maxime Gagnon, PDG
Le rideau est tombé dimanche au 42e Défi sportif AlterGo. En 10 jours de compétitions, on a pu voir près…
Jour 9 : Le Québec remporte l’argent en curling en fauteuil roulant!
La fin de semaine a bien commencé avec une médaille pour l’équipe de Carl Marquis au Championnat canadien de curling…
Le Défi en images
Revoyez les moments inoubliables du Défi sportif AlterGo! Merci aux photographes et vidéastes qui, par leurs images, nous permettent de revivre de belles émotions!
Voir les photos et les vidéosPorte-parole et ambassadeurs
Chantal Petitclerc
« À travers le sport, on veut avoir un impact social. On veut faire connaître les personnes handicapées non à travers leurs limites, mais à travers leur potentiel. »
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Jean-Marie Lapointe
« Depuis la journée 1 au Défi sportif AlterGo, je n’ai pas arrêté de voir la vie différemment parce que le Défi m’amène à regarder les gens qui ont une limitation d’une nouvelle façon. C’est comme si j’avais vécu toute ma vie avec des verres fumés. Et là, j’arrive au Défi, et il y a un petit enfant qui me les a enlevées. Il m’a dit ― Viens. Viens ici. Viens regarder avec mes yeux. ― »
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Hugo Girard
«Le Défi sportif AlterGo incite à mettre de côté la différence. On réalise qu’au fond on est tous pareils, on a tous le désir de repousser nos limites. »
En savoir plusTémoignages
« Dans leur école, les jeunes sont habitués à avoir plus de difficulté ou à être les moins bons dans les cours d'éducation physique. En participant au Défi sportif AlterGo, ils sont incités à faire un sport, ils sont motivés, ce qui permet de développer des passions et les incite ensuite à faire des activités dans la communauté. » ― Isabelle Marcoux, physiothérapeute au Centre de réadaptation Marie Enfant.
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